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Ses livres

Portrait de l'auteure Edith Soonckindt

Française d’origines nordiques comme méditerranéennes (Malte, Corse, Algérie), fière descendante de Jean Bart, de Terre-neuvas, de cap-horniers et de pêcheurs d’Islande, ancienne élève du philosophe Roger Laporte et du romancier américain Ronald Sukenick, Edith Soonckindt a étudié musique, anglais (Master 1) et communication

(Master 2) puis posé ses valises à Bruxelles après avoir vécu à Boulogne sr/mer (où elle est née), Nîmes et Montpellier (en famille), et passé en solo de très nombreuses années dans le Kentucky, à Londres, en Californie, à Manchester, sur la Côte d’Azur et aux Pays-Bas (où elle s’est dotée d’un mari).

Chargée de cours en universités (États-Unis, Angleterre et France) pendant 8 ans, elle a rêvé d’être anthropologue puis chanteuse lyrique, pour finir par faire 101 métiers, dont le plus avouable reste une trentaine d’années dans l’édition parisienne, comme traductrice littéraire, autrice, « rewriteuse », réviseuse et consultante, entre autres auprès des commissions d’aides à la traduction du CNL. Après l’avoir emmenée très tôt (à 17 ans) explorer l’Amérique où elle a vécu 2 ans et étudié philosophie et littérature américaine, puis l’Angleterre où elle a vécu et enseigné (le FLE) 5 années durant, sa passion pour les cultures et pays anglo-saxons l’a vue voyager aussi au Canada et en Irlande. Il

n’est donc pas étonnant qu’elle ait fait de ces pays sa spécialité en tant que traductrice littéraire. S’y est ajoutée il y a peu l’Afrique du Sud, qu’il lui reste encore à visiter. Autre pôle d’intérêt itinérant : les pays dits de l’Est (Pologne, Tchéquie, Autriche et RDA), la Scandinavie (bientôt) et le Japon, dont elle apprend actuellement la langue.

Elle a publié de nombreux poèmes et nouvelles en revues (France, Belgique, Suisse & Québec), 10 livres dont Le Bûcher des anges, Hors Commerce, Paris, La Femme sans nom & La Ville de la Pluie, Maelström, Bruxelles 2011 & 2014, La Femme défaite, EDL, Bruxelles 2015, Les Égarés & M’as-tu écrit depuis le Port aux Parfums ? Maelström 2017 & 2021, Les Amants du Rhône (Lamiroy 2022, traduit en russe, espagnol et arabe), et nombre d’albums pour enfants (dont Le Pays des rois, Nathan, traduit en italien et coréen), et un récit sur la Shoah (La Tombe de mon père est dans le ciel in La

Revue du Rouergue, été 2007) ; ainsi qu’une quarantaine de traductions de l’anglais (dont Lorrie Moore, J.C.

Oates, La Nostalgie de l’ange (Alice Sebold), Tim Burton pour L’Étrange Noël de Mr Jack (un long poème illustré), et Le Chardonneret de Donna Tartt, Pulitzer 2014, ainsi qu’une traduction du néerlandais, langue vers laquelle elle a aussi sous-titré des films pour la Warner. Elle vient de retraduire Le Maître des illusions (Donna Tartt) pour Laffont.

Elle a reçu 2 prix français pour ses travaux personnels, le Prix RFI de la Nouvelle en 1991 pour Eaux mortes (à écouter sur son site), et en 2002 la Bourse Thyde Monnier du Premier Roman (Grand Prix d’Automne de la SGDL) pour Le Bûcher des anges, un ouvrage en prose poétique préfacé par Marcel Moreau. Elle a par ailleurs reçu 2 bourses d’aide à l’écriture de la Communauté française de Belgique, 2 bourses de traduction du CNL, ainsi que 4 bourses de résidence (CITL d’Arles, Monastère de Saorge, près de Nice, et Academia Belgica à Rome). Elle a participé à des conférences, des salons du livre, ainsi qu’à des émissions radio et télé, et a fait partie en 2015 du jury du Prix des Lecteurs de L’Express. En 2016 & 2017, elle a été membre du CA du Collège européen des traducteurs littéraires de Seneffe (CTLS, Belgique). Depuis 2023, elle contribue des articles à Conti-News, journal de la résistance juive, au Village mondial, journal associatif bruxellois, au Volantino, journal psy en ligne, et elle est éditrice chez

Edern.


Sinon, elle adore Duras, Modiano et Murakami, le chocolat noir, la musique baroque, le cinéma asiatique et les jours de pluie.

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